décembre 2006

Condamnation du communisme en Roumanie

Les arguments présidentiels pour la condamnation du communisme : l’annihilation de l’État de droit, la persécution des minorités, l’arrestation, l’assassinat et la détention politique

Bucarest, 18 déc/Rompres/ - Le président Traian Basescu a condamné ce lundi le régime communiste de Roumanie, sur la base d’arguments soulignés aussi dans le rapport de la commission présidentielle avec en tête Vladimir Tismaneanu.

Ainsi, les principales actions criminelles mentionnées dans le rapport sont : l’abandon des intérêts nationaux par servilisme dans les relations avec l’URSS, après l’installation du régime-marionnette dirigé par Petru Groza /6 mars 1945/, ce qui a mené au retard de l’histoire roumaine de quleques décennies, l’annihilation de l’État de droit et du pluralisme par des mises en scène et fraudes, notamment après le vol des élections de novembre 1946 et la suppression des partis politiques et de la continuité constitutionnelle de l’État roumain, par l’abdication forcée du roi Michel 1er.

Un autre argument est représenté par la soviétisation totale, par la force, de la Roumanie, surtout dans la période 1948-1956, et l’imposition, sous le nom de "dictature du prolétariat", d’un système politique despotique, dirigé par un groupe réuni autour du leader suprême, ainsi que la politique d’annihilation de catégories sociales au nom de la lutte de classe.

Les représentants les plus importants des élites de Roumanie ont été éliminés soit pas meurtre, soit par déportation, prison, travail forcé ou marginalisation. On a recouru à une logique de la culpabilité collective et la persécution des familles de ceux qui étaient soupçonnés d’intentions ou actions anticommunistes. On a également recouru à l’utilisation de critères aberrants pour détruire les chances des enfants provenus de familles "à origine malsaine" d’étudier dans l’enseignement supérieur. Suite à la politique du régime communiste, des centaines de milliers de personnes ont été détenues dan des prisons et camps, déportées ou disloquées, a relevé Traian Basescu, citant du rapport de la commission.

La persécution des minorités ethniques, religieuses, culturelles ou d’orientation sexuelle, l’extermination des groupes de partisans qui représentaient la résistance anticommuniste armée dans les montagnes /1945-1962/ et la répression contre les cultes et l’extermination ou la persécution de tous ceux qui s’opposaient au communisme, tant aux rangs de la majorité ethnique roumaine, qu’aux rangs des minorités et l’oppression de l’Église orthodoxe, la suppression de l’Église gréco-catholique, les persécutions contre le mouvement sioniste sont d’autres arguments pour la condamnation du régime communiste.

Parmi les arguments présentés par le chef de l’État comptent aussi l’arrestation, le meurtre, la détention politique ou la déportation des paysans qui s’opposaient au transfert de leurs terrains dans la propriété de l’État /collectivisation/, les déportations en vue de l’extermination, les répressions ethniques, l’expulsion et "la vente" des juifs et des Allemands, la répression contre la culture, l’éradication des valeurs nationales, le rejet de l’art et de la culture occidentale, la censure, l’arrestation et l’humiliation des intellectuels non enrégimentés ou portestataires /1945-1989/, ainsi que la répression des mouvements et des actions des étudiants de 1956, les procès contre les étudiants protestataires, organisés par le Parti travailliste roumain, l’Union de la Jeunesse travailliste, l’Union des Associations des Étudiants de Roumanie et la Sécuritate /1958-1960/, ainsi que les mises en scène de 1965 et des années suivantes.

Le président a mentionné aussi la répression des mouvements des ouvriers de Valea Jiului /1977/, Brasov /1987/ et des autres grèves des années 80, l’arrestation et la déportation des ouvriers protestataires, la répression des opposants et des dissidents des années 70 et 80, l’arrestation et l’assassinat des opposants les plus courageux - le meurtre de l’ingénieur Gheorghe Ursu, la condamnation à la mort du diplomate Mircea Raceanu, arrêté et jugé en 1989, la condamnation à la mort des personnes que le régime considérait comme des trahisseurs, ainsi que la destruction du patrimoine historique et culturel par les démolitions des années 80, inspirée de la grandomanie de Ceausescu et l’obsession de la liquidation des grands repères culturels et historiques.

La contrainte d’une partie de la population de Roumanie de quitter les maisons au nom de la politique de "systématisation" des zones rurales, les conséquences désastreuses de "la politique démographique" /1966-1989/ soldée avec des milliers de morts, l’imposition de normes aberrantes visant "l’alimentation rationnelle", la politique d’affamer la population, l’interruption du chauffage central, l’état de misère, de désespoir provenu de la dégradation physique infligée à tout un peuple, l’utilisation de la misère matérielle et morale, ainsi que de la peur comme instruments de maintien du pouvoir communiste sont autant de raisons sûres pour condamner le communisme.

"Prétendant d’accomplir les souhaits du marxisme, le régime a traité une population entière comme une masse de cobayes soumis à cet absurde expériement d’ingénierie sociale", a dit le président Basescu.

Le communisme est également condamné pour la destruction des repères moraux de la société roumaine et de ses valeurs de solidarité, en absence desquelles un peuple ne peut pas devenir l’auteur libre de sa propre histoire, et pour le massacre des citoyens révoltés, à l’ordre de Nicolae Ceausescu, avec l’approbation de la direction du Parti communiste roumain /PCR/ et la participation effective d’unités de l’armée et de la Securitate, pendant la révolution anticommuniste de décembre 1989.

Le président Traian Bassescu sollicite au Parlement de soutenir la déclaration de condamnation du communisme

Bucarest, 18 déc /Rompres/ - Le président Traian Basescu a sollicité, ce lundi, aux sénateurs et aux députés de soutenir la déclaration de condamnation des crimes du communisme, de regret et de compassion à l’égard des victimes de ces crimes, dans l’esprit de la Résolution no 1481 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe du 25 janvier 2006.

Le chef de l’État, qui a présenté au Parlement le rapport de la Commission Tismaneanu, a souligné que le document final contenait de nombreuses propositions que les parlementaires devraient assumer.

Le président a sollicité le soutien, par les Chambres réunies, de sa déclaration de condamnation des crimes du communisme, de regret et de compassion à l’égard des victimes du communisme, soutenant les propositions de la Commission concernant l’établissement d’une journée commémorative, à la mémoire des victimes de la répression et de la terreur communistes. Il a soutenu aussi la construction dans la capitale d’un Monument des Victimes du Communisme.

"Je soutiens la création à Bucarest d’un Musée de la Dictature communiste de Roumanie. Ce Musée sera, en égale mesure, un endroit consacré à la mémoire et à l’affirmation des valeurs de la société ouverte. Outre le Musée, il est nécessaire de créer un centre de documentation destiné à l’information publique, avec accès illimité, où soient collectionnés des documents essentiels pour comprendre le phénomène communiste, l’univers concentrationnaire, la propagande comme moyen de contrainte spirituelle’’, a affirmé Traian Basescu.

Le chef de l’État a proposé, à cette occasion, d’organiser une exposition permanente dans le cadre du Palais du Parlement, avec des documents représentatifs pour l’idée de police politique, des documents qui soient représentatifs pour le phénomène de la violation des droits civils fondamentaux dans la Roumanie communiste.

En même temps, M. Basescu soutient l’organisation d’un cycle de conférences dans les grands centres universitaires de Roumanie, où soit présenté le contenu du Rapport, accompagné d’explications, commentaires et documents représentatifs. Traian Basescu propose la création d’un groupe de chercheurs, sous les auspices de l’Administration présidentielle, en vue d’élaborer une Encyclopédie du communisme roumain.

Le Président Traian Basescu : Le communisme imposé en Roumanie par diktat étranger

Bucarest, 18 déc /Rompres/- Nous avons les données nécessaires pour la condamnation sans droit d’appel du régime communiste de Roumanie, a affirmé, lundi, le président Traian Basescu depuis la tribune des Chambres réunies du Parlement.

’’Une démocratie sans mémoire est en grave souffrance. Nous ne devons pas oublier, pour éviter les horreurs du passé. Les conclusions de la Commission, que je fais miennes, affirment que le système communiste totalitaire de Roumanie a été imposé par diktat étranger’’, a souligné le chef de l’Etat roumain.

Traian Basescu a précisé qu’il faisait siennes les conclusions de la Commission présidentielle pour l’analyse de la dictature communiste de Roumanie.

’’J’ai trouvé dans ce document les raisons pour lesquelles je puis condamner le régime communiste. Pour les citoyens de la Roumanie, le communisme a été un régime imposé par un groupe politique autodésigné comme détenteur de la vérité, un régime totalitaire né par la violence et terminé par la violence. Ce fut un régime d’oppression, qui a exproprié le peuple roumain de cinq décennies d’histoire moderne, qui a foulé aux pieds la loi et a obligé les citoyens à vivre dans le mensonge et la peur’’, a dit Traian Basescu.

Le Premier ministre Calin Popescu-Tariceanu : La condamnation du communisme représente un acte nécessaire

Bucarest, 18 déc /Rompres/ - Le Premier ministre Calin Popescu-Tariceanu a salué, lundi, l’initiative de la condamnation du régime communiste, mais il a exprimé, en même temps, le regret pour la manière dont s’est déroulée la séance du Parlement, lors de laquelle le président Traian Basescu a présenté le rapport de la commission pour l’analyse du communisme de Roumanie.

’’J’estime le fait de se détacher du communisme et de condamner le communisme un acte nécessaire’’, a relevé le Premier ministre, rappelant que le gouvernement a amorcé une série de mesures à cet égard, dont la modification de la loi sur la déclassification des Archives de la Securitate, le projet de loi sur la lustration ou la création de l’Institut pour l’étude de la période communiste et des crimes du communisme.

’’Je crois qu’il faudra que nous nous penchions tous davantage sur le contenu du rapport, afin d’en comprendre la substance. Le rapport aura, sans doute, un impact sur la société roumaine, sur les générations plus jeunes, qui n’ont pu connaître les horreurs de la période communiste et j’espère qu’il éliminera, aussi, les doutes de ceux qui se posaient jusqu’à présent des questions sur la vraie nature du régime communiste : s’il a été bénéfique ou non pour la Roumanie’’, a dit Calin Popescu-Tariceanu.

Le discours du président Traian Basescu a été interrompu à plusieurs reprises par des protestations tapageuses des parlementaires du Parti la Grande Roumanie (PRM, d’opposition).

Traian Basescu : Le régime communiste de Roumanie a été illégitime et criminel

Bucarest, 18 déc/Rompres/ - Le président Traian Basescu a condamné ce lundi, 17 ans après la révolution de décembre, le système communiste de Roumanie.

"En tant que chef de l’État roumain, je condamne explicitement et catégoriquement le système communiste de Roumanie, dès son installation, à base de diktat, dans les années 1944-1947 jusqu’à sa chute, en décembre 1989. Prenant acte des réalités présentées dans le rapport, j’affirme en parfaite responsabilité que le régime communiste de Roumanie a été illégitime et criminel", a dit Traian Basescu en séance conjointe des deux Chambres du Parlement.

Le chef de l’Etat a précisé que, par ce geste, l’Etat démocratique roumain en condamnait les instruments, en premier lieu le Parti communiste roumain et la Securitate. ’’Le parti a été le cerveau du système répressif, et la Securitate l’instrument qui a mis en pratique les décisions politiques’’, a-t-il dit.

’’Je veux me faire bien comprendre. Je ne pense à aucun moment à la grande masse des membres du parti, dont l’unique activité était de payer la cotisation et de participer chaque mois à des séances vidées de tout contenu. Je pense à l’institution du ’parti dirigeant’, donc à l’appareil qui a rendu possible le régime totalitaire communiste. Au cas de la Securitate, il s’est agi d’une institution essentielle pour le soutien de l’Etat totalitaire communiste, illégitime et criminel’’, a souligné le président.

Le chef de l’Etat roumain a souligné que par ce geste de condamnation, il affirmait son admiration pour l’héroisme de ceux qui se sont opposés à la dictature, depuis les combattants de la résistance et les militants des partis politiques annihilés par les communistes aux dissidents et aux opposants de la période Ceausescu.

Traian Basescu a rendu hommage aux grands hommes d’Etat Iuliu Maniu, Ion Mihalache, Dinu Bratianu, Ion Flueras, aux martyrs des Eglises comme Iuliu Hossu, Sandu Tudor, Vladimir Ghika, Richard Wurmbrand, Marton Aron, aux membres des partis démocratiques de Roumanie, à toutes les victimes du régime totalitaire communiste, aux opposants et aux dissidents.

’’Je souhaite exprimer mon appréciation pour le courage patriotique et la dignité de tous les survivants des prisons communistes, qui sont les derniers témoins directs de notre tragédie comme nation. Je souhaite, également, rendre éloge au geste des intellectuels qui ont élevé leur voix contre Nicolae Ceausescu : Paul Goma, Doina Cornea, Radu Filipescu, Mircea Dinescu, Dan Petrescu, Liviu Cangiopol, Gabriel Andreescu, ou le geste désespéré, tombé aujourd’hui dans l’oubli, de Liviu Babes, qui, le 2 mars 1989, s’est immolé par le feu à Poiana Brasov, sur la piste de ski Bradu en signe de protestation contre un régime criminel. En même temps, j’exprime ma compassion pour les souffrances subies par la grande majorité du peuple roumain’’, a dit le président.

Il a rappelé aussi les radios Free Europe, BBC, Voix d’Amérique, Deutsche Welle, Radio France Internationale qui, a souligné Traian Basescu, ont contribué de façon essentielle à informer les citoyens de la Roumanie sur la situation dans le pays et dans lemonde.

De même, Traian Basescu a rendu hommage dans son allocution à la mémoire de Ghita Ionescu, Mihai Cismarescu, Noel Bernard et Vlad Georgescu, des gens qui ’’ont lutté avec altruisme et passion pour la connaissance et l’expression de la vérité’’.

’’Je rends éloge à Monica Lovinescu et à Virgil Ierunca, ceux qui, en s’exilant physiquement, ont continué à vivre chaque jour pour le peuple roumain, en maintenant en éveil, par leurs inoubliables émissions à la radio Free Europe, la conscience morale des Roumains. Je souligne le rôle de la Ligue pour la Défense des Droits de l’Homme de Roumanie de Paris, qui, depuis 1977, a sensibilisé l’Occident au probème des abus commis en Roumanie’’, a souligné Traian Basescu.

"Au nom de l’État roumain, j’exprime mon regret et ma compassion vis-à -vis des victimes du communisme. Au nom de l’État roumain, je présente des excuses à ceux qui ont souffert, à leurs familles, à tous ceux qui, d’une manière ou autre, ont vu leurs destins ruinés par les abus de la dictature", a relevé le président Basescu.

Les deux Chambres du Parlement se sont réunis ce lundi pour écouter le discours du président Traian Basescu en marge du rapport de la commission présidentielle pour l’analyse de la dictature communiste de Roumanie.

A la séance conjointe solennelle de la Chambre des Députés et du Sénat participipent le Premier ministre Calin Popescu-Tariceanu, les anciens présidents de la Pologne et de la Bulgarie, Lech Walesa et Jelio Jelev, ainsi que le ministre du gouvernement polonais Andrej Kazakiewicz, le président de l’Institut "L.Walesa", Piotr Gulczynski, le vice-président de l’Assemblée nationale de la République de Bulgarie, Filip Dimitrov, et le sénateur du Parlement de la République tchèque, Jaromir Stetina.

Parmi les invités comptent aussi des figures réputées du combat contre le communisme dont Doina Cornea et Ana Blandiana, ainsi les soeurs de l’ancien leader du Parti national paysan /PNT/, Corneliu Coposu, le patriarche Teoctist et le roi Michel 1er.

La commission présidentielle avec en tête l’historien et politologue Valdimir Tismaneanu a élaboré dans 8 mois un rapport qu’elle a présenté au chef de l’État.

Le président Traian Basescu a souhaité l’élaboration d’un tel rapport par des experts pour condamner le régime communiste de Roumanie, sur la base d’un document rigoureux et cohérent, réalisé par des personnalités reconnues pour leur contribution à l’investigation du phénomène.

Le président Basescu pourrait déclarer le rapport de la commission comme document officiel de l’État roumain.

Le rapport a plus de 600 pages, plusieurs annexes et sera un document accessible qui permettra aux Roumains de ces jours et aux générations à venir de connaître et comprendre la nature répressive dans les plans social et individuel de la dictature communiste.

La présentation du document a lieu dans le contexte où sont commémorés 17 ans depuis la révolution de décembre qui a fait chuter le régime communiste instauré par Nicolae Ceausescu et quelques jours avant l’intégration de la Roumanie à l’Union européenne.

Le président Traian Basescu rendra public le rapport Tismaneanu

Bucarest, 18 déc/Rompres/ - Le président Traian Basescu présentera dans l’après-midi de lundi, devant les chambres réunies du Parlement, le rapport de la Commission présidentielle pour l’analyse de la dictature communiste de Roumanie, conduite et coordonnée par l’historien et politologue Vladimir Tismaneanu.

Le chef de l’État a décidé le 5 avril de créer cette commission chargée de l’élaboration d’une synthèse scientifique des crimes et des abus du régime communiste de Roumanie jusqu’à la Révolution de décembre 1989.

La commission a analysé les principales institutions qui ont rendu possibles la perpétuation de la dictature communiste, les violations flagrantes des droits de l’homme, ainsi que le rôle de certaines personnalités politiques dans le maintien et le fonctionnement de ce système.

Le rapport Tismaneanu est "ridicule" et est plein d’"erreurs culturelles et historiques", déclarait récemment le président du Parti grande Roumanie (PRM, opposition), Corneliu Vadim Tudor.

Pour sa part, le président honorifique du Parti social démocrate (PSD, opposition), Ion Iliescu, a rejeté vendredi les conclusions relatives à sa personne et à son activité politique, formulées dans le rapport Tismaneanu. Il a affirmé que Vladimir Tismaneanu fait une synthèse dans les 660 pages du rapport qui manipule et qui manque d’honnêteté intellectuelle.

Les conservateurs considèrent que le rapport est "un simple exercice d’image". Le vice-président du Parti conservateur (PC), la députée Daniela Popa, a déclaré que le document fait preuve de "superficialité et d’absence de professionnalisme" vu qu’il a été rédigé en une brève période de temps.

[Roumanie.com]

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